Des salariés travaillant dans la tour confirment que celle-ci « se vide, étage par étage », alimentant les discussions sur l'avenir du gratte-ciel. Bien que des travaux de désamiantage aient déjà permis de traiter 90% du bâtiment par le passé, de l'amiante subsiste dans des parties inaccessibles comme les joints de façade. La tour a déjà connu des épisodes de pollution à l'amiante, notamment en 2013, qui avaient conduit à des évacuations préventives.

La date exacte du départ des derniers occupants n'a pas encore été fixée, mais cette injonction préfectorale met une pression considérable sur les copropriétaires pour finaliser le lancement du chantier.