Cette décision a pour conséquence de suspendre les permanences de services essentiels (CCAS, CDAS, associations) pour les habitants du quartier, qui sont désormais invités à contacter les services par téléphone ou par courriel. Cet événement met en évidence la crise persistante du logement pour les demandeurs d'asile et les migrants à Rennes. L'occupation d'un bâtiment public neuf et symbolique est un acte de protestation visible qui place les autorités locales face à un dilemme complexe : assurer la continuité du service public tout en répondant à une situation humanitaire urgente.