Une nouveauté majeure pour ce scrutin est l'alliance annoncée dès le premier tour avec les Écologistes, une stratégie différente de celle de 2020 où les deux forces s'étaient unies entre les deux tours. Cette union vise à consolider le bloc de gauche face à une opposition qui s'organise.

À droite et au centre, les candidatures se dessinent également, avec déjà six listes en compétition selon un des articles.

Le Rassemblement National affiche des ambitions claires pour ce scrutin, avec une tête de liste déjà désignée et l'objectif affiché de "créer la surprise" et de s'inscrire dans une dynamique de "conquête du pouvoir". Le parti a structuré sa campagne en s'entourant notamment d'un ancien patron de la police, signalant une volonté de mettre les thèmes de la sécurité au cœur du débat.

L'échiquier politique rennais se met donc en place, avec des stratégies et des positionnements qui promettent une campagne animée.

Les enjeux pour la capitale bretonne, ville en pleine croissance démographique et économique, seront nombreux, allant du logement à la mobilité, en passant par la sécurité et la transition écologique.