Face à la montée des menaces, notamment russes, les capacités militaires y sont considérablement renforcées.

Situé au sud de Rennes, le Commandement de la cyberdéfense (Comcyber) rassemble déjà "500 militaires d’active et réservistes".

L'importance de ce site a été réaffirmée avec l'ouverture, durant l'été 2025, d'un nouveau bâtiment opérationnel abritant une académie dédiée à l'entraînement.

Les articles soulignent que si "le champ de bataille numérique est déjà une réalité du quotidien", les forces armées se préparent activement à "la guerre cyber de haute intensité". Dans un contexte de tensions géopolitiques croissantes, le patron du Comcyber estime que l'armée française doit intensifier ses efforts pour être prête à affronter une cyberguerre contre des adversaires étatiques comme la Russie. Il est clairement affirmé que "La Bretagne aura un rôle clé dans ce mouvement", positionnant Rennes comme l'épicentre de cette montée en puissance. Cet investissement massif en infrastructures et en personnel qualifié témoigne de la reconnaissance par l'État du caractère critique du domaine cybernétique dans les conflits modernes. La capitale bretonne n'est plus seulement un pôle de recherche technologique civil, mais bien un bastion essentiel de la souveraineté numérique et de la stratégie de défense nationale.