En poste depuis 2014, la maire socialiste a annoncé qu'elle officialiserait sa candidature en janvier 2026 (`4a842a39-1340-4627-950f-1ede96a0915e`), mais cette déclaration précoce positionne déjà les grands enjeux du futur débat.
L'un des articles analyse en profondeur ce qui pourrait être son "talon d’Achille" : la sécurité (`075502b2-bd53-4032-998d-83dabdd0bd76`).
Si son bilan est crédité de la tenue de la plupart de ses promesses de 2020 en la matière, il est aussi "entaché par un narcotrafic devenu hors de contrôle". Cette thématique, autrefois secondaire, est désormais un "gros caillou dans la chaussure de la maire", et il est certain que ses adversaires politiques en feront un axe d'attaque majeur. Sa campagne devra donc s'articuler autour d'une double stratégie : défendre son bilan sécuritaire, probablement en mettant en avant les moyens déployés et la coopération avec l'État, tout en valorisant les autres facettes de son action. Les grandes transformations urbaines, comme la renaturation des quais de Vilaine, les politiques sociales et environnementales, ainsi que le développement des transports, constitueront le socle de sa vision pour un "Rennes d'après". L'élection sera un test de la capacité de sa majorité à convaincre les Rennais que leur approche globale de la ville l'emporte sur les préoccupations sécuritaires.










