Cet enjeu sécuritaire pèse lourdement sur le quotidien des habitants et s'impose comme un thème central du débat politique local.

L'ampleur du narcotrafic à Rennes est mise en évidence par le chiffre de "600 gardes à vue depuis le début de l'année 2025", communiqué par le préfet sortant, Amaury de Saint-Quentin (`fa16398b-f053-4ec6-ad14-79d146a31ebb`).

Cette statistique souligne l'intensité de l'action policière menée pour contrer ce phénomène.

Le problème est décrit comme étant devenu "hors de contrôle" (`075502b2-bd53-4032-998d-83dabdd0bd76`), transformant une préoccupation secondaire en 2020 en un défi politique majeur pour la municipalité. L'article `8c4e81d8-1b49-41ef-9113-329579d61f1b` évoque la pression exercée sur les maires bretons en général, qui se retrouvent en première ligne et sont parfois la cible de menaces directes : "Je vais te buter, je vais cramer ta mairie".

Bien que non spécifique à Rennes, ce témoignage offre un contexte crucial sur l'environnement difficile dans lequel les élus locaux, y compris la maire de Rennes, doivent opérer.

Ce climat d'insécurité influence directement la perception du public et devrait être un thème dominant lors des prochaines élections municipales, constituant potentiellement le "talon d'Achille" de l'administration actuelle.