Initialement prévus pour durer plus longtemps, les travaux se sont terminés en avance, une "bonne nouvelle" pour les usagers. Toutefois, la semaine du 24 novembre s'annonçait "noire" pour les automobilistes, avec des perturbations importantes prévues sur la rocade, ainsi que dans les secteurs ouest et sud de la métropole. Les articles soulignent un paradoxe : bien que les travaux soient localisés au pont d'Alma, les bouchons les plus importants se sont formés à d'autres endroits de la rocade, illustrant l'effet domino des perturbations sur un réseau routier déjà saturé. Cette situation met en évidence la vulnérabilité des infrastructures de transport de la capitale bretonne et l'impact considérable que peut avoir un incident localisé sur l'ensemble du trafic. La gestion de ce chantier et de ses conséquences sur la circulation est un cas d'école sur les défis de la mobilité dans une métropole en croissance, où la moindre perturbation peut rapidement paralyser des axes stratégiques.