Malgré cette intervention, la free-party a pu se dérouler.

Les autorités ont indiqué qu'une opération d'évacuation du bâtiment était prévue dans la journée du dimanche. Cet événement illustre une nouvelle fois le phénomène récurrent des rassemblements musicaux non déclarés en Bretagne et les difficultés rencontrées par les forces de l'ordre pour les encadrer ou les empêcher. Ces situations posent des questions de sécurité, de salubrité publique et d'ordre public, tout en reflétant une culture alternative qui cherche à exister en marge des circuits officiels.