Le combat est devenu emblématique, transformant un choix parental personnel en un débat de société sur la diversité linguistique et le respect des cultures minoritaires en France. Après un jugement à Saint-Brieuc, d'autres affaires sont prévues en 2026 devant les tribunaux de Rennes, Brest et Caen.

La décision qui sera rendue à Rennes sera particulièrement scrutée, car elle pourrait influencer l'issue des autres dossiers et potentiellement créer une jurisprudence sur l'acceptation de signes diacritiques non français dans l'état civil.