Cet événement culturel majeur propose une réflexion profonde sur une relation qui a façonné les civilisations.
Comme le souligne la commissaire scientifique Valérie Chansigaud, citée dans l'article, "la domestication est un élément de la nature humaine".
L'exposition explore cette thématique à travers des exemples variés, du chien, premier animal domestiqué, aux créations génétiques les plus récentes comme la pastèque sans pépins.
En présentant les multiples facettes de la domestication – utilitaire, rituelle, nourricière ou de compagnie – le Muséum offre un panorama complet et accessible. L'objectif est de provoquer une prise de conscience chez le visiteur sur l'ampleur de l'impact humain, résumé par cette phrase : "il n'y a plus d'espèces non affectées par l'être humain". L'exposition cherche à "ouvrir le regard" pour que le public ne voie "plus le monde de la même façon". En abordant un sujet aussi fondamental, le Muséum de Toulouse réaffirme son rôle d'institution scientifique et culturelle de premier plan, capable de traiter des enjeux de société contemporains à travers le prisme de l'histoire naturelle. C'est une contribution significative à l'offre culturelle de la ville.





