Dans la nuit du 19 au 20 octobre 2025, un pompier a été légèrement blessé lors de l'intervention sur un incendie de voiture. L'incident a pris une tournure particulièrement dangereuse lorsqu'une bonbonne de protoxyde d'azote, présente dans le véhicule, a explosé, provoquant un "blast et effet-missile". Cet événement souligne un danger émergent pour les premiers intervenants, lié à la présence de produits détournés de leur usage et potentiellement instables dans l'espace public.

Quelques jours auparavant, le 17 octobre 2025, un autre événement grave a secoué le quartier Soupetard. Une explosion, suivie d'un incendie dans un appartement, a nécessité le déploiement d'un "gros dispositif de pompiers".

Bien que les articles ne relient pas directement les deux faits, leur proximité temporelle contribue à une perception accrue de l'insécurité et des dangers liés aux incendies en ville. Ces deux cas illustrent la complexité et l'imprévisibilité des interventions pour les sapeurs-pompiers toulousains. Ils doivent non seulement maîtriser les flammes, mais aussi anticiper des risques annexes comme les explosions, qu'elles soient d'origine accidentelle ou liées à des activités illicites.

La répétition de tels sinistres interroge sur la prévention de ces risques et la sécurisation des zones résidentielles face à des menaces explosives inattendues.