Selon Maxime Boyer, vice-président de Toulouse Métropole en charge des déplacements, cette mesure est un "outil indispensable de régulation". L'objectif principal est de lutter contre les "voitures ventouses" qui monopolisent les places de stationnement sur de longues durées, afin de favoriser la rotation des véhicules et de faciliter le stationnement pour les résidents. Il précise cependant que l'extension restera "ciblée" et ne concernera pas l'intégralité de la ville. Cette politique vise à améliorer la qualité de vie des habitants en leur permettant de trouver plus aisément une place près de leur domicile.
Néanmoins, l'initiative n'est pas unanimement saluée.
Dans certains quartiers nouvellement concernés, la mesure suscite "l'incompréhension, voire la colère". Des habitants remettent en question la nécessité et l'impact financier de cette extension, la percevant davantage comme une contrainte que comme une solution. Ce déploiement progressif illustre la tension entre les objectifs de la collectivité en matière de mobilité urbaine et les préoccupations quotidiennes des citoyens.











