Le procès, qui s'est tenu le 6 novembre 2025, a établi que le mobile de l'acte était le mécontentement du père quant au temps de jeu de son fils. Le tribunal a condamné ce dernier à une peine de quatre ans de prison, dont deux ans fermes. Les deux exécutants ont écopé de peines distinctes : l'un à 30 mois de prison dont 18 avec sursis, et l'autre à deux ans de prison avec sursis.

Le mineur impliqué avait été jugé séparément et condamné à six mois en centre éducatif.

Les articles soulignent que cette affaire a mis en lumière à quel point certains parents peuvent être "déconnectés du monde réel" et a choqué l'opinion publique par la violence de la réaction face à des décisions sportives concernant un enfant. Les condamnés ont la possibilité de faire appel de leur jugement.