Cette situation a rendu la qualité de l'air particulièrement dégradée sur l'ensemble de la région, y compris dans l'agglomération toulousaine. Au-delà de ces épisodes ponctuels, les articles soulignent également une problématique de fond concernant la pollution chronique. Selon Atmo Occitanie, l'observatoire agréé de la qualité de l'air, près d'un tiers de la population de la région est exposé à des niveaux de dioxyde d'azote (NO2), un polluant principalement issu du trafic routier, supérieurs aux recommandations. Face à ce double enjeu de pollution aiguë et chronique, l'observatoire appelle à intensifier les efforts pour réduire les émissions à la source, notamment par une baisse des vitesses de circulation, afin de protéger la santé des habitants.