À partir du 12 novembre 2025, deux nouveaux secteurs de la ville adoptent le stationnement résidentiel payant.
Selon Maxime Boyer, vice-président de Toulouse Métropole en charge des déplacements, l'objectif est de lutter contre les « voitures ventouses » qui occupent l'espace public de manière prolongée et de favoriser une meilleure rotation des véhicules. Cette mesure est décrite comme un « outil indispensable de régulation » destiné à encourager les résidents et les visiteurs à privilégier les parkings en ouvrage ou les transports en commun.
Cependant, cette extension ne fait pas l'unanimité.
Les articles rapportent que la décision suscite « l'incompréhension, voire la colère » dans certains quartiers, où les habitants la perçoivent comme une contrainte financière supplémentaire. La municipalité assure que la mesure restera ciblée et ne s'appliquera pas à l'ensemble de la ville, mais la stratégie d'élargissement progressif alimente les craintes. Le débat met en lumière la tension classique dans les métropoles en croissance entre la nécessité d'améliorer le cadre de vie et de repenser la mobilité urbaine, et les conséquences pratiques et financières pour les citoyens qui dépendent encore de leur véhicule individuel pour leurs déplacements quotidiens. Les articles ne précisent pas quels sont les nouveaux quartiers concernés ni les modalités exactes des tarifs pour les résidents.











