Le candidat en question est Pierre Pezzin, un dirigeant de banque à la retraite se présentant sans étiquette.

Il a dévoilé que l'une de ses propositions phares, s'il était élu, serait de rebaptiser la Ville rose pour revenir à son "nom d'origine". Les articles ne précisent pas quel nom historique serait privilégié, mais la démarche a pour but de marquer une rupture symbolique et de réaffirmer une identité historique profonde.

Cette suggestion, bien que provenant d'un candidat actuellement considéré comme mineur dans la course à la mairie, a le mérite de susciter le débat et d'attirer l'attention médiatique. Elle soulève des questions sur l'identité de la ville, son rapport à son passé et la pertinence de telles modifications toponymiques dans le contexte politique et social actuel. Bien que peu susceptible d'aboutir, cette proposition illustre la diversité des idées qui peuvent émerger lors d'une campagne électorale et la manière dont les candidats cherchent à se distinguer en abordant des thèmes inattendus, allant au-delà des enjeux traditionnels de gestion municipale.