L'élue d'opposition a brandi un mégaphone en pleine session pour réclamer l'ouverture des fenêtres de la salle du conseil afin d'assurer une meilleure aération, malgré le froid extérieur.
Affirmant que sa santé était mise « en danger », son coup d'éclat a provoqué une suspension de séance.
La situation a été si inhabituelle que le maire, Jean-Luc Moudenc, a lui-même commenté : « On n'a jamais vu ça ».
Au-delà de cet incident précis, les articles décrivent une atmosphère générale de désordre, avec des mentions de « haine », de « course de petits chevaux » et d'une confusion généralisée. Cet épisode s'inscrit dans un contexte politique plus large de tensions pré-électorales à Toulouse.
D'autres événements récents, non directement liés à ce conseil mais reflétant le climat, incluent le dépôt d'une plainte pour diffamation par la Mairie contre le candidat LFI François Piquemal suite à une vidéo de campagne, ainsi que des divergences stratégiques affichées entre Les Écologistes et Archipel citoyen concernant d'éventuelles alliances pour les municipales de 2026.
L'ensemble de ces faits témoigne d'une crispation notable sur la scène politique toulousaine.











