Le maire sortant, Jean-Luc Moudenc, a officiellement lancé sa pré-campagne en présentant, le 27 novembre 2025, ses deux premières colistières, marquant ainsi le début de la constitution de son équipe. À gauche, le paysage est plus fragmenté.
Une dissidence est apparue au sein du parti Les Écologistes, où des militants ont refusé l'alliance avec le Parti Socialiste et ont décidé de rejoindre la liste menée par François Piquemal de La France Insoumise.
Cette scission illustre les tensions stratégiques qui parcourent l'opposition.
D'autres listes adoptent des approches de campagne originales pour se démarquer.
La liste citoyenne "Toulouse Nouvel Air" a choisi d'aller au contact des habitants en utilisant un vélo couché caréné comme "permanence mobile".
Par ailleurs, des candidats cherchent à imposer des thèmes spécifiques dans le débat public.
C'est le cas de Richard Mébaoudj, qui a alerté sur ce qu'il considère comme une impréparation de la ville face aux conflits majeurs, en soulignant l'absence d'abris antimissiles pour protéger la population. Ces premières manœuvres politiques témoignent de la diversité des approches et des enjeux qui structureront la future bataille électorale pour le Capitole.











