Cet événement a mis en lumière les vives tensions qui animent la vie politique locale.
L'incident le plus marquant a été provoqué par l'élue d'opposition Odile Maurin.
Se plaignant du manque d'aération dans la salle du conseil, elle a brandi un mégaphone en pleine séance pour exiger que les fenêtres soient ouvertes, malgré le froid extérieur.
Affirmant que sa santé était "mise en danger", son intervention a provoqué une suspension de séance.
Le maire, Jean-Luc Moudenc, a déclaré à ce propos : "On n'a jamais vu ça".
Au-delà de cet éclat, d'autres sujets ont contribué à envenimer les débats.
La question sensible du port du burkini dans les piscines municipales a de nouveau été soulevée, ravivant un clivage profond et ancien entre la majorité et l'opposition. L'ambiance générale de la réunion a été décrite comme particulièrement dégradée, avec des échanges houleux et des accusations de "haine". Cette session illustre une détérioration du climat politique au sein de l'assemblée municipale, où le débat a laissé place à des confrontations spectaculaires et à une rupture du dialogue.











