L'événement a été déclenché par l'élue d'opposition Odile Maurin.

Invoquant des raisons de santé et affirmant "On met ma santé en danger !

", elle a exigé que les fenêtres de la salle du conseil soient ouvertes, malgré le froid extérieur.

Face à ce qu'elle percevait comme une fin de non-recevoir, elle a sorti un mégaphone pour amplifier sa requête, créant un "scandale" et une situation de blocage. Cet acte a provoqué une suspension immédiate de la séance et a été qualifié de "confusion totale" par les observateurs.

Le maire, Jean-Luc Moudenc, a exprimé sa stupeur face à la tournure des événements, déclarant : "On n'a jamais vu ça".

Les articles rapportent une ambiance de "haine" et mentionnent même une "course de petits chevaux", une expression suggérant une perte totale de sérieux et de décorum au sein de l'institution.

Bien que le motif initial puisse paraître anodin, l'incident révèle un climat politique extrêmement polarisé et conflictuel à Toulouse, où le débat démocratique peine à se dérouler sereinement, laissant place à des confrontations spectaculaires qui nuisent au bon fonctionnement de la municipalité.