Cette démarche administrative témoigne d'une surveillance accrue des autorités face aux méthodes employées pour la construction.
Plus grave encore, l'affaire a pris une dimension pénale avec la mise en examen d'un directeur de travaux du chantier.
Cet individu est soupçonné d'être impliqué dans des "commandos" qui auraient mené des actions d'intimidation et de dégradation contre des opposants au projet. Cette mise en examen pour des faits de violence présumée marque une escalade significative, suggérant que des méthodes illégales auraient pu être employées pour faire face à la contestation.
Ces développements interviennent dans un contexte de mobilisation continue des militants anti-A69, qui dénoncent l'impact écologique du projet et les conditions de sa réalisation. La judiciarisation du dossier pourrait avoir des conséquences importantes sur la poursuite des travaux et sur l'image du projet auprès de l'opinion publique.










