Cet acte a soulevé des préoccupations quant à la manifestation de la haine dans les espaces publics du quotidien. Les faits se sont déroulés le 26 novembre, lorsqu'un adhérent de la salle a été repéré avec un maillot de l'équipe d'Allemagne sur lequel était inscrit un propos antisémite. L'article rapporte que l'acte a été commis « de manière très fourbe », ce qui suggère une intention délibérée de dissimuler la nature offensante du message tout en l'affichant publiquement. Cet événement, bien que localisé, revêt une importance particulière car il met en lumière la persistance de l'antisémitisme et sa capacité à s'immiscer dans des lieux de vie commune. Il pose la question de la vigilance citoyenne et de la responsabilité des établissements recevant du public face à de tels comportements. La qualification de l'acte comme étant « fourbe » indique une tentative de normaliser ou de banaliser un discours de haine, ce qui constitue un défi pour la cohésion sociale et le respect mutuel.