Cependant, la situation reste extrêmement précaire.

La centrale se trouve dans une zone de combats actifs, et sa sécurité dépend de cessez-le-feu fragiles et de la capacité à maintenir en état de marche des infrastructures constamment menacées par les hostilités. La présence militaire russe sur le site continue de violer tous les principes de sûreté nucléaire, faisant de Zaporijjia une menace potentielle de catastrophe radiologique pour l'ensemble du continent européen.