Le plan, qui doit maintenant être négocié avec le Parlement européen, prévoit une extinction progressive des contrats.

Cependant, la mesure n'a pas fait l'unanimité.

La Hongrie et la Slovaquie, pays enclavés et encore très dépendants du gazoduc russe, s'y sont opposées mais ont été mises en minorité.

Le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, a affirmé que cette décision allait "tuer" la sécurité d'approvisionnement de son pays. Cette interdiction s'inscrit dans une série de mesures restrictives, l'UE ayant également annoncé un 19e paquet de sanctions qui cible pour la première fois le Gaz Naturel Liquéfié (GNL) russe, avec un arrêt total des importations prévu pour fin 2026.