Cette volte-face a été suivie par l'annonce de sanctions américaines contre le pétrole russe, illustrant une approche diplomatique imprévisible.

Les dirigeants européens, inquiets d'un accord conclu sans eux, ont insisté sur le fait que l'Ukraine devait être à la table des négociations et que les frontières ne pouvaient être modifiées par la force.

Le président Zelensky s'est dit prêt à participer au sommet "s'il est invité", tout en exprimant des réserves sur le choix de Budapest, compte tenu des liens du Premier ministre hongrois Viktor Orbán avec le Kremlin.