Les conditions préalables à toute négociation restent le principal obstacle.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a qualifié l'idée de geler le conflit le long de la ligne de front actuelle de « bon compromis ».

Cette position est soutenue par ses alliés européens, qui insistent sur le principe que « les frontières internationales ne doivent pas être modifiées par la force ».

À l'inverse, la Russie maintient des exigences maximalistes, notamment la reconnaissance de la Crimée et des quatre régions annexées, ainsi que la neutralité de l'Ukraine. Un émissaire du Kremlin, Kirill Dmitriev, a pourtant affirmé que les parties étaient « raisonnablement proches d'une solution diplomatique », une vision optimiste qui contraste avec l'impasse observée sur le terrain et la poursuite des hostilités.