Ces achats représentent environ 15 milliards d'euros par an pour le Kremlin.

Cependant, la Hongrie et la Slovaquie, pays enclavés et fortement dépendants du gaz russe, se sont opposées à la mesure mais ont été mises en minorité.

Le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, a affirmé que cette décision allait « tuer » la sécurité d'approvisionnement de son pays.

La mesure doit maintenant être négociée avec le Parlement européen, qui souhaiterait une interdiction encore plus rapide, dès le 1er janvier 2026. L'UE devra accélérer la diversification de ses sources d'approvisionnement, notamment via le GNL et les partenariats avec des pays comme la Norvège, pour compenser les volumes russes.