« Ce plan est-il légal ?

», a-t-il interrogé, qualifiant la proposition de « territoire inexploré ». La Belgique craint d'assumer seule les risques juridiques et financiers, notamment d'éventuelles représailles de Moscou qui pourrait attaquer la Belgique en justice ou saisir des actifs européens sur son territoire.

M.

De Wever a exigé une mutualisation totale des risques entre les 27 États membres, avertissant : « Si cela tourne mal, je ne suis pas disposé à payer 140 milliards d’euros en une semaine ».

La commissaire européenne belge Hadja Lahbib a confirmé que l'UE n'était « pas prête », soulignant la nécessité d'avancer prudemment et d'obtenir le soutien du G7.

Faute d'accord, les dirigeants européens ont simplement demandé à la Commission d'explorer les options, reportant toute décision au prochain sommet en décembre.