Cette ouverture contraste avec la position antérieure de l'Ukraine, qui exigeait un retrait complet des troupes russes.

Les dirigeants européens, tout en soutenant l'initiative, ont réaffirmé dans une déclaration commune avec M. Zelensky que "les frontières internationales ne doivent pas être modifiées par la force".

Cependant, la Russie maintient une position intransigeante.

Le Kremlin a rejeté l'idée d'un cessez-le-feu immédiat, exigeant au préalable la reconnaissance de ses annexions territoriales et l'arrêt des livraisons d'armes occidentales à l'Ukraine. Kirill Dmitriev, un émissaire du Kremlin, a néanmoins noté que la position de Zelensky représentait un "grand pas", estimant qu'une solution diplomatique était "raisonnablement proche".

Parallèlement à ces discussions, l'Ukraine continue de demander des armements supplémentaires, notamment des missiles Tomahawk, pour maintenir la pression militaire sur la Russie.