Ancien combattant d'une milice séparatiste prorusse dans l'est de l'Ukraine entre 2014 et 2016, Dieter S. se serait dit prêt à commettre des attentats à l'explosif et des incendies.

Ses deux complices, également germano-russes, qui l'ont aidé dans ses activités d'espionnage, ont écopé de peines de prison avec sursis. Cette affaire s'inscrit dans un contexte plus large d'actes de sabotage, de désinformation et d'espionnage attribués à la Russie en Allemagne, pays devenu un soutien majeur de Kiev depuis l'invasion de 2022.