Les entreprises ont jusqu'au 21 novembre pour cesser leurs activités à l'étranger sous peine de lourdes pénalités.

En réponse, Lukoil a confirmé son intention de se conformer et de céder ses activités, qui comprennent trois raffineries et environ la moitié de ses 5 000 stations-service dans le monde. Un ancien dirigeant de l'entreprise a estimé que cette décision pourrait entraîner une chute des revenus et des bénéfices d'environ 30 %.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué ces sanctions, les considérant comme un élément clé d'une stratégie de pression plus large.

Ces mesures économiques complètent les efforts militaires et diplomatiques visant à contraindre la Russie à négocier une fin au conflit.