Le président Volodymyr Zelensky a qualifié cette opération d'"attaque délibérément calculée visant à causer un maximum de dommages aux personnes et aux infrastructures civiles".
Des dizaines d'immeubles résidentiels ont été endommagés ou touchés par des débris, comme ceux d'un missile Iskander qui ont atteint l'ambassade d'Azerbaïdjan.
Selon le chef de l'administration militaire de Kiev, Tymur Tkachenko, les Russes ont frappé directement des bâtiments d'habitation. Les conséquences ont été immédiates pour la population : le maire Vitali Klitschko a signalé que le chauffage avait été coupé dans deux districts en raison des dommages causés aux réseaux.
L'Allemagne a fermement condamné cette attaque, dénonçant le "mépris pour l'humanité" de Vladimir Poutine.
L'Ukraine a affirmé répondre à ces bombardements par des frappes à longue portée sur le territoire russe et a réitéré son appel urgent à ses partenaires pour renforcer sa défense aérienne. "Beaucoup de travail est en cours avec les partenaires pour renforcer notre défense aérienne, mais ce n'est pas suffisant.
Nous avons besoin d'un renforcement avec des systèmes supplémentaires et des missiles intercepteurs", a déclaré le président Zelensky.












