Face à cette impasse, elle a évoqué des alternatives, comme l'émission d'une dette commune de l'UE ou des contributions nationales directes, des options peu populaires auprès des pays déjà endettés. La situation est compliquée par le fait que des pays comme la Slovaquie et la Hongrie pourraient également s'opposer au plan, menaçant l'unanimité requise pour le maintien des sanctions qui gèlent ces actifs.