Le président Zelensky a déclaré que l'accord "couvrira près de 2 milliards d'euros nécessaires pour les importations de gaz afin de compenser les pertes de production ukrainienne causées par les frappes russes". De son côté, le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis a souligné le rôle croissant de son pays, affirmant que "la Grèce devient une plaque tournante pour l'approvisionnement de l'Europe centrale et orientale en gaz naturel liquéfié américain". Cette initiative s'inscrit dans une stratégie plus large des États-Unis visant à remplacer "chaque molécule de gaz russe" par du GNL américain sur le marché européen, renforçant ainsi l'indépendance énergétique du continent vis-à-vis de Moscou.