Les auteurs présumés ont été identifiés comme étant deux ressortissants ukrainiens "qui opèrent et coopèrent avec les services russes depuis une période prolongée". Selon les autorités polonaises, les deux suspects seraient entrés en Pologne depuis la Biélorussie peu avant l'attaque et y seraient retournés après.

Le Kremlin a rejeté ces accusations, les qualifiant de "russophobie" émanant de Varsovie, sans pour autant démentir formellement les faits.

Cet événement s'inscrit dans une série d'incidents d'espionnage et de sabotage en Pologne depuis 2022, qui ont conduit le pays à renforcer son niveau d'alerte sécuritaire.