Sur le plan militaire, le plan imposerait une réduction drastique des forces armées ukrainiennes, limitées à 600 000 personnes.

Une clause particulièrement controversée stipule que les États-Unis recevraient "50 % des bénéfices" des efforts de reconstruction, financés en partie par les avoirs russes gelés.

Le président russe Vladimir Poutine a accueilli favorablement ce plan, le considérant comme une "base pour un règlement pacifique définitif".

Face aux critiques, le président Donald Trump a semblé prendre ses distances, affirmant que ce n'était "pas [son] offre finale" et repoussant l'ultimatum initialement fixé à Thanksgiving.

Cependant, la proposition a été perçue par de nombreux observateurs européens comme "scandaleuse" et un "non-sens", car elle récompenserait l'agression russe et laisserait l'Ukraine dans une position de vulnérabilité permanente.