Refusant de céder, il a assuré qu'il ne "trahirait pas" son pays et qu'il proposerait des "alternatives" au plan américain.

Il a immédiatement entamé des consultations avec ses alliés européens, s'entretenant par téléphone avec le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz et le Premier ministre britannique Keir Starmer pour coordonner leurs positions.

Son cabinet a publié une déclaration prudente, indiquant que les dirigeants "apprécient les efforts des États-Unis" mais qu'ils travaillent sur le document pour garantir "une paix réelle et digne".

L'indignation est palpable au sein de la population ukrainienne, qui considère le plan comme une trahison et une capitulation inacceptable après près de quatre ans de guerre.