Il a affirmé que l'Europe prenait de "mauvaises directions" et que les États-Unis ne souhaitaient pas qu'elle "change autant".

Ces attaques s'étendent à la gestion de la guerre en Ukraine.

Dans une interview, il a déclaré à propos des Européens : "Ils parlent, mais ils ne produisent pas, et la guerre continue encore et encore".

La Maison Blanche a également fait savoir que le président avait eu des "mots assez forts" avec les Européens sur ce sujet.

Cette rhétorique agressive n'est plus considérée comme anecdotique mais comme le reflet d'une doctrine américaine qui voit l'Europe comme un continent en "déclin" et un rival idéologique.

Ces déclarations sapent la confiance et compliquent la coopération sur des dossiers où l'unité est cruciale, forçant les Européens à "faire le dos rond" tout en cherchant à préserver leurs intérêts.