À Kiev, la population vit dans une anxiété permanente, une réalité brutale qui contraste avec les discussions sur la paix. Les articles décrivent une situation humanitaire difficile où la Russie mène, environ une fois par semaine, des "attaques combinées massives de drones et de missiles". Dans la seule capitale, ces frappes ont tué plus de 330 civils et en ont blessé 900 autres depuis 2022, détruisant les biens de milliers de personnes. L'arrivée de l'hiver rend la situation encore plus précaire, car les attaques ciblent régulièrement les infrastructures énergétiques, plongeant des quartiers entiers dans le froid et l'obscurité.
Cette guerre d'usure psychologique est résumée par le témoignage d'un habitant de Kiev : "Ne pas savoir quand ça finira, c’est peut-être ça le pire".
Malgré cette dure épreuve, les textes soulignent également la résilience et l'engagement de la population. De nombreux civils participent activement à l'effort de défense, tandis que des témoignages poignants, comme celui d'un jeune garçon de 11 ans blessé dans une frappe qui a coûté la vie à sa mère, rappellent constamment le coût humain du conflit.












