En réponse, les Européens ont avancé l'idée d'une force multinationale qu'ils dirigeraient pour garantir un cessez-le-feu.

Parallèlement, des pourparlers ont eu lieu à Miami entre des représentants russes, ukrainiens et américains, bien que des discussions directes entre Russes et Ukrainiens y soient jugées "peu probables".

La Russie observe ces manœuvres avec méfiance, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, ayant déclaré que la participation des Européens "n'augure rien de bon". Face à l'impossibilité d'une adhésion à l'OTAN, Zelensky réclame désormais des "garanties de sécurité contraignantes" de la part de ses partenaires occidentaux.