Les articles soulignent d'abord l'importance d'adapter l'alimentation.
Pour les chats qui s'aventurent à l'extérieur, les besoins énergétiques peuvent augmenter de 10 à 20 % pour maintenir leur température corporelle, nécessitant une ration plus riche. Inversement, les chats d'intérieur, vivant dans des logements chauffés, ont un besoin accru d'hydratation pour compenser l'air sec.
Il est également crucial de s'assurer que leurs points d'eau ne gèlent pas.
Les sorties des chiens doivent aussi être repensées.
Les promenades nocturnes deviennent plus risquées dès que la température descend sous 8 °C, exposant l'animal à des risques d'hypothermie ou de troubles digestifs. Les experts recommandent de raccourcir ces sorties, de privilégier les heures plus douces de la journée et d'équiper les chiens les plus fragiles d'un manteau et d'une lotion pour les coussinets.
Un séchage minutieux au retour est indispensable.
La sensibilité au froid varie grandement.
Douze races de chats, notamment celles à poil court ou sans poil comme le Sphynx, sont particulièrement vulnérables. De même, les chiens âgés, malades, ou de petite taille comme le Chihuahua ressentent le froid plus intensément.
Pour tous, la protection est primordiale : un abri isolé pour ceux qui vivent dehors, un panier à l'écart des courants d'air pour les autres.
Les risques de l'hiver ne se limitent pas au froid direct ; l'arthrite peut s'aggraver, les coussinets peuvent souffrir de gerçures dues au sel de déneigement, et le danger d'empoisonnement à l'antigel est réel. Une vigilance accrue est donc de mise.












