Cet accord, qualifié d'important par le commandant en chef kurde Mazloum Abdi, fait suite à la décision du nouveau pouvoir de dissoudre tous les groupes armés pour les intégrer à l'État. Il prône également un système de partage de l'autorité entre le pouvoir central et les provinces au sein d'une Syrie unifiée. Ces développements indiquent une volonté de la nouvelle direction syrienne de clore le chapitre de la guerre civile tout en consolidant une nouvelle structure étatique, bien que les défis liés à la justice transitionnelle et à la réconciliation nationale restent immenses.