Le président américain Donald Trump a reconnu que le Hamas avait été « assez turbulent », mais a imputé les tirs à des « rebelles au sein du mouvement », tout en affirmant que le cessez-le-feu restait en vigueur. De son côté, le négociateur en chef du Hamas, Khalil al-Hayya, a réaffirmé l'engagement de son mouvement envers l'accord, tout en soulignant les « difficultés extrêmes » à récupérer les corps sous les décombres après deux ans de bombardements. Cette spirale de violence et de méfiance met en péril l'ensemble du processus de paix.