Le président américain Donald Trump a reconnu que le Hamas avait été « assez turbulent », mais a imputé les tirs à des « rebelles au sein du mouvement », tout en affirmant que le cessez-le-feu restait en vigueur. De son côté, le négociateur en chef du Hamas, Khalil al-Hayya, a réaffirmé l'engagement de son mouvement envers l'accord, tout en soulignant les « difficultés extrêmes » à récupérer les corps sous les décombres après deux ans de bombardements. Cette spirale de violence et de méfiance met en péril l'ensemble du processus de paix.
La fragilité du cessez-le-feu à Gaza
Un cessez-le-feu conclu le 10 octobre entre Israël et le Hamas est mis à rude épreuve par des violations quasi immédiates et une escalade de la violence, menaçant de faire dérailler l'accord fragile négocié sous l'égide des États-Unis. L'accord, qui a permis la libération de 20 otages israéliens vivants en échange de près de 2 000 prisonniers palestiniens, est miné par des accusations mutuelles. Israël reproche au Hamas de n'avoir restitué que 13 des 28 dépouilles d'otages décédés, une condition essentielle de l'accord. En représailles, le gouvernement de Benyamin Netanyahou a refusé d'ouvrir le poste-frontière de Rafah et a réduit l'aide humanitaire. La situation s'est considérablement dégradée avec la mort de deux soldats israéliens le 19 octobre, à laquelle Israël a répondu en larguant « 153 tonnes de bombes » sur Gaza, suspendant l'acheminement de l'aide et provoquant la mort d'au moins 45 Palestiniens, dont des civils, des femmes et des enfants. Le Hamas dément toute implication dans la mort des soldats et accuse Israël de mener « un cycle quotidien de meurtres et de bombardements ».



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