La visite du vice-président américain J.D.

Vance en Israël le 21 octobre vise à « consolider le cessez-le-feu fragile » et à encourager Benyamin Netanyahou à poursuivre les négociations sur les autres volets du plan de paix, notamment le désarmement du Hamas et une nouvelle gouvernance pour Gaza. Cette visite a été précédée par des entretiens entre le Premier ministre israélien et les envoyés de Trump, Steve Witkoff et Jared Kushner.

L'administration américaine craint que l'accord ne soit remis en cause sans une pression continue sur les parties.

Un haut responsable américain a souligné le caractère critique de la période à venir, déclarant : « Les 30 prochains jours seront décisifs ». Le président Trump a personnellement haussé le ton, menaçant le Hamas de conséquences désastreuses en cas de non-respect de l'accord. Il a affirmé que ses alliés au Moyen-Orient étaient prêts à « entrer à Gaza en force et redresser le Hamas » si nécessaire, ajoutant que « la fin du Hamas sera RAPIDE, TERRIBLE ET BRUTALE !

».

Ces déclarations, mêlant diplomatie et menaces militaires, illustrent l'implication profonde de Washington et les enjeux élevés pour une administration qui a fait de cet accord un pilier de sa politique étrangère.