Cependant, cette aide reste précaire.
La porte-parole du PAM, Abeer Etefa, a confirmé que les livraisons avaient été interrompues le dimanche 19 octobre « en raison des combats ».
Israël a explicitement lié l'aide humanitaire au respect de l'accord par le Hamas. Suite au retard dans la restitution des corps d'otages, Israël a réduit les quantités d'aide et refusé d'ouvrir le poste-frontière de Rafah, un accès jugé « crucial » et « hautement stratégique » pour l'aide internationale. Le plan Trump prévoyait l'ouverture de ce passage et l'entrée de 600 camions par jour, un objectif loin d'être atteint. L'aide transite principalement au compte-gouttes par les passages de Kerem Shalom et Kissoufim, sous contrôle israélien strict.
La réouverture de Rafah reste en suspens, le bureau du Premier ministre israélien ayant annoncé qu'elle resterait fermée « jusqu'à nouvel ordre », conditionnant toute décision à la restitution complète des dépouilles.











