Le mouvement a mené des actions punitives, notamment en diffusant une vidéo montrant l'exécution publique de huit hommes présentés comme des « collaborateurs » d'Israël. Des affrontements intenses ont également éclaté dans le quartier de Choujaïya à Gaza-ville, opposant une unité affiliée au Hamas à des clans et gangs armés. Une source sécuritaire palestinienne a confirmé qu'une opération était en cours pour « neutraliser des personnes recherchées », avec le message clair qu'il n'y aurait « pas de place pour les hors-la-loi ». Ces actions contredisent directement le plan de paix américain, qui prévoit le désarmement du Hamas et son exclusion de la future gouvernance de Gaza. La réaction de Washington ne s'est pas fait attendre.
Le président Donald Trump a menacé de « désarmer » lui-même le Hamas si le mouvement ne déposait pas les armes, prévenant que cela se ferait « vite et peut-être violemment ».
Il a également menacé d'« aller tuer » les membres du Hamas s'ils continuaient de « tuer des gens » à Gaza.











