Pour s'assurer de la poursuite du processus, Washington a dépêché plusieurs émissaires, dont Jared Kushner, Steve Witkoff, JD Vance et Marco Rubio. Ce dernier s'est dit « optimiste » sur le maintien de la trêve et a évoqué l'intérêt de « nombreux pays » pour participer à la future Force Internationale de Stabilisation (ISF) prévue à Gaza.

Cependant, les États-Unis font face à des défis majeurs.

Donald Trump a dû menacer le Hamas, affirmant qu'il serait « éradiqué » s'il ne respectait pas l'accord.

Parallèlement, Washington met en garde Israël contre toute annexion de la Cisjordanie, une initiative qui, selon Trump, ferait perdre à Israël « tout le soutien des États-Unis ».

Cette offensive diplomatique s'inscrit dans une vision plus large visant à relancer les Accords d'Abraham et à créer une nouvelle architecture de sécurité régionale, mais elle se heurte aux réalités du terrain et aux agendas divergents des parties prenantes.