Face à cette flambée de violence, la communauté internationale a réagi avec inquiétude.

Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a condamné "fermement" ces attaques.

Cependant, le président américain Donald Trump a justifié la riposte israélienne, déclarant : "Ils ont tué un soldat israélien.

Donc les Israéliens ripostent.

Et ils devraient riposter", tout en assurant que "rien" ne compromettrait l'accord. Les médiateurs américains et qataris ont également affirmé que la trêve restait techniquement en vigueur.

Malgré ces assurances diplomatiques, cet épisode a ravivé la peur d'un retour à la guerre totale parmi la population de Gaza, déjà éprouvée par des mois de conflit.