Malgré ces limitations, M. Grossi a cherché à tempérer les craintes d'une reprise clandestine des activités d'enrichissement.
"Nous ne constatons rien qui puisse laisser supposer qu’un travail substantiel soit en cours là-bas", a-t-il affirmé, soulignant que l'AIEA poursuivait les discussions avec Téhéran pour étendre son accès.
Cette situation fragile s'inscrit dans un contexte de fortes pressions économiques sur l'Iran.
Le rétablissement des sanctions financières de l'ONU se fait durement ressentir sur la population, confrontée à une hausse constante des prix.
Pour contourner cet isolement, Téhéran se tourne vers d'autres partenaires.
Le pays se serait engagé à acheter massivement des panneaux solaires à la Chine.
Parallèlement, les États-Unis ont accordé à l'Inde une exemption de sanctions de six mois pour l'exploitation du port iranien de Chabahar, illustrant la complexité de la politique de sanctions et les intérêts stratégiques divergents des puissances mondiales.











