Ces déclarations s'accompagnent d'une intensification des opérations militaires israéliennes.

L'armée israélienne a confirmé avoir mené des frappes ciblées dans le sud du Liban, tuant quatre combattants du Hezbollah.

Une autre incursion israélienne a provoqué la mort d'un employé municipal dans un village frontalier, un acte condamné par le président libanais qui a ordonné à son armée de "s'opposer à toute incursion israélienne". En réponse à cette escalade, le Liban a accepté de nommer des représentants "civils" à un comité international chargé de surveiller le cessez-le-feu, une concession vue comme un geste d'apaisement.

Cependant, les États-Unis et plusieurs pays arabes s'activent diplomatiquement pour éviter une reprise des hostilités, qui pourrait déclencher une guerre régionale aux conséquences imprévisibles.